Achat d’une première maison : comment Sumandeep a profité de conseils personnalisés

Comme je suis arrivée seule au Canada, j’étais à la fois inquiète et enthousiaste. La langue est différente ici et je me demandais comment j’allais faire. Pourtant, un pas à la fois, je me suis inscrite à l’université, j’ai travaillé à temps partiel et j’ai appris la langue, ce qui m’a donné confiance en moi.

À mon arrivée au Canada, je n’étais pas indépendante sur le plan financier. J’avais quelques économies, mais je dépensais surtout mon argent pour des choses qui ne m’étaient pas utiles. Je ne pensais pas à en mettre de côté pour mon avenir, jusqu’au moment où j’ai rencontré ma conseillère, Vaishali, alors que j’accompagnais mon oncle à l’une de ses rencontres avec elle à la Banque CIBC. Elle m’a demandé comment je gérais mes finances et, au cours de notre conversation, j’ai réalisé que si je comprenais mieux les finances, je pourrais épargner davantage.

Nous avons examiné différentes options de placement, et je me suis intéressée à l’achat d’une maison avec ma cousine. Vaishali m’a demandé d’établir un budget – c’était la première étape. Elle m’a également aidée à comprendre le montant dont j’avais besoin pour la mise de fonds et celui que je devais épargner chaque mois, ainsi que l’avantage de choisir une maison qui pourrait générer des revenus locatifs. Elle m’a aidée à comprendre les étapes exactes que je devais suivre, ce qui a rendu le processus beaucoup plus simple.

« La plupart des gens ne pensent qu’à leur mise de fonds lorsqu’ils achètent une maison, mais les dépenses mensuelles ne se limitent pas à cela », explique Vaishali. « Il y a aussi les taxes foncières et les coûts d’entretien. Je recommande toujours de se payer en premier, c’est-à-dire de mettre de l’argent de côté, et ensuite de dépenser. J’ai donc demandé à Sumandeep comment elle pourrait réaliser ses rêves si elle n’avait pas de plan d’épargne en place, et cette question l’a vraiment interpellée. »

C’est une expérience très différente de ce à quoi j’étais habituée en Inde. Au Canada, les conseillers sont d’un grand soutien et assurent un suivi avec le client. Vaishali m’a donné de bons conseils pour mon avenir, et j’ai même commencé à l’appeler « ma tante », car je possède un lien solide avec elle. L’accession à la propriété n’était pas une priorité pour moi à mon arrivée au pays, mais j’ai 26 ans aujourd’hui et je suis vraiment heureuse d’avoir fait ce choix.

C’est comme un rêve qui devient réalité. Si je pouvais revenir en arrière, regarder la version plus jeune de moi-même et lui parler de ma vie d’aujourd’hui, je lui dirais que j’ai obtenu tout ce que je voulais dans la vie. Je suis fière de moi, je deviendrai encore plus fière à l’avenir et je me dépasserai.